De nouveaux antibiotiques, l'énergie des égouts, une application qui stimule les comportements durables, des voitures légères comme des plumes et de la rouille dans le cerveau. Ces cinq étudiants ont une chance de remporter notre prix de thèse Eos.
Ces dernières semaines, les lecteurs d'Eos ont pu voter. Le résultat de ce sondage compte pour un quart de l'appréciation totale du jury.
Le samedi soir 21 décembre, nous dévoilerons le lauréat lors de la cérémonie de remise des prix au Centre des congrès et du patrimoine Lamot à Malines. Voulez-vous être là ? Alors inscrivez-vous ICI.
L'informaticien Leen vanhoudt (KU Leuven) a développé GoGreen , une application pour encourager les comportements durables. Ses recherches auprès d'une soixantaine de sujets test montrent qu'après la période de test d'un mois et demi, les participants continuent à réaliser en moyenne quatre actions durables qu'ils ne faisaient pas auparavant.
En savoir plus sur cette thèse
Brecht Tomme (Master of Science in Sustainable Materials Engineering, Université de Gand) a développé un modèle informatique qui aide à rechercher des matériaux plus légers qui peuvent être produits rapidement, ne génèrent pas de déchets et sont abordables. Les nouveaux matériaux peuvent rendre les voitures, les avions et les navires plus légers, de sorte qu'ils consomment moins de carburant.
En savoir plus sur cette thèse
Le bioinformaticien Steff Taelman (Université de Gand) a combiné l'intelligence artificielle et la biologie synthétique pour lutter contre les bactéries résistantes aux antibiotiques. Il s'est concentré sur ce qu'on appelle les enzymobiotiques :des substances bactéricides constituées de morceaux de virus.
En savoir plus sur cette thèse
Stefaan Jacobs et Timon Vankeirsbilck (KU Leuven) ont étudié le potentiel des égouts :la récupération de la chaleur d'un réseau d'égouts. Ils ont mené un test sur le campus d'Arenberg pour savoir quelles sont les réductions d'émissions possibles et la faisabilité financière d'un tel projet.
En savoir plus sur cette thèse
La maladie d'Alzheimer continue d'être un défi pour les spécialistes du cerveau du monde entier. Une découverte récente suggère que des niveaux anormaux de fer dans le cerveau peuvent contribuer à l'apparition et à la progression de cette maladie. Biomedica Eva Wachtelaer (UAntwerp) a examiné les niveaux de fer de 180 participants, y compris des personnes en bonne santé et des patients.
En savoir plus sur cette thèse
