Dans les années à venir, les fortes précipitations augmenteront non seulement dans les pays humides comme la Belgique et les Pays-Bas, mais aussi dans les régions sèches comme l'Afrique. Parce que l'infrastructure n'est pas adaptée aux fortes précipitations, une petite augmentation a déjà un impact majeur.
Les chercheurs prévoient que le cycle hydrologique va s'intensifier dans les années à venir en raison du changement climatique. En conséquence, les périodes de fortes précipitations augmenteront à l'avenir non seulement dans les pays humides comme la Belgique et les Pays-Bas, mais aussi dans les régions sèches comme l'Afrique.
L'augmentation annuelle des précipitations extrêmes est particulièrement pertinente pour les régions arides. Étant donné que ces régions ne sont pas préparées à de telles précipitations, le risque d'inondation augmente. Parce que l'infrastructure n'est pas adaptée aux fortes précipitations, une petite augmentation peut avoir un impact majeur.
Les modèles climatiques montrent que les périodes de fortes précipitations ont considérablement augmenté dans les régions sèches et humides. Depuis 1950, les précipitations extrêmes ont augmenté de 2 %. Cela est dû au réchauffement climatique qui provoque l'évaporation de plus en plus d'eau de mer entraînant la pluie. De plus, des chercheurs de l'Université de New South Wales en Australie prédisent une nouvelle augmentation des précipitations pour les zones humides et sèches. (ah)