ll est pourtant possible de bien maîtriser l’asthme par des mesures simples et une médication ajustée.
Le nombre de cas d’asthme diagnostiqués a considérablement augmenté entre les années 1980 et la fin des années 1990.
- Consulter un médecin, même quand l’asthme semble léger, et demander une évaluation précise, appuyée par des tests de fonction respiratoire, une recommandation auprès d’un pneumologue ou à un centre d’enseignement sur l’asthme, ainsi qu’un plan d’action écrit.
- Toujours prendre ses médicaments, même si «tout va bien». Bien utilisés, les corticostéroïdes n’ont presque pas d’effets secondaires.
- Bannir la cigarette et la fumée secondaire. On risque d’aggraver l’asthme et de rendre les médicaments moins efficaces.
- Faire du sport.
- Ne pas garder d’animal domestique si on est allergique.
- S’informer en consultant:
- Asthme-Quebec
- Le Réseau québécois de l’asthme et de la MPOC
- ou encore le livre L’asthme au quotidien (Presses de l’Université Laval, 2005; 20$)
- L’Association pulmonaire du Canada
- L’asthme au Canada
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